Titre : | Ateliers mémoire | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Emmanuelle Goury-Meyer, Auteur | Editeur : | Paris : Phalente | Année de publication : | 2012 | Collection : | Ateliers d'animation séniors | Importance : | 143 p. | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-36835-000-3 | Langues : | Français | Catégories : | Thérapeutique:Rééducation et réadaptation:Animation
| Tags : | Troubles de la mémoire prévention Guides pratiques et mémentos mémoire atelier | Résumé : | La mémoire, ou plutôt les mémoires, restent au premier plan des craintes des personnes âgées, exprimant la peur très fréquente de «la perdre». La mémoire constitue l'identité, elle inscrit les événements dans le temps et l'espace ; oublier, c'est perdre un peu de soi, ne plus se reconnaître, se retrouver. L'entrée en maison de retraite signifie bien souvent rompre avec son quotidien, ses habitudes de vie, ses activités, ses liens amicaux, son rôle social. Dans ce contexte, comment préserver les facultés cognitives des personnes accueillies lorsqu'elles n'effectuent plus les actions simples de la vie quotidienne (préparer les repas, recevoir leur famille, rencontrer leurs amis...) ? Comment pouvons-nous en tant que professionnel aider chacun à trouver du sens, à s'adapter à la vie dans un lien collectif différent de ce qui constituait les principaux repères des personnes accueillies ? |
Ateliers mémoire [texte imprimé] / Emmanuelle Goury-Meyer, Auteur . - Paris : Phalente, 2012 . - 143 p.. - ( Ateliers d'animation séniors) . ISBN : 978-2-36835-000-3 Langues : Français Catégories : | Thérapeutique:Rééducation et réadaptation:Animation
| Tags : | Troubles de la mémoire prévention Guides pratiques et mémentos mémoire atelier | Résumé : | La mémoire, ou plutôt les mémoires, restent au premier plan des craintes des personnes âgées, exprimant la peur très fréquente de «la perdre». La mémoire constitue l'identité, elle inscrit les événements dans le temps et l'espace ; oublier, c'est perdre un peu de soi, ne plus se reconnaître, se retrouver. L'entrée en maison de retraite signifie bien souvent rompre avec son quotidien, ses habitudes de vie, ses activités, ses liens amicaux, son rôle social. Dans ce contexte, comment préserver les facultés cognitives des personnes accueillies lorsqu'elles n'effectuent plus les actions simples de la vie quotidienne (préparer les repas, recevoir leur famille, rencontrer leurs amis...) ? Comment pouvons-nous en tant que professionnel aider chacun à trouver du sens, à s'adapter à la vie dans un lien collectif différent de ce qui constituait les principaux repères des personnes accueillies ? |
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